Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« 2008-06 | Page d'accueil | 2008-08 »

20 juillet 2008

Jazz à Juan - Célébration oecuménique 2008






FESTIVAL DE JAZZ 2008
CÉLÉBRATION ŒCUMÉNIQUE
20 Juillet 2008



juanjazz3.jpg


Bienvenue à tous de la part des communautés catholique et réformée de notre ville pour ce temps de réflexion et de louange conduit par
nicole slack jones & soul sisters.jpg
Nicole SLACK JONES
& the SOUL SISTERS





Souvenez-vous, il y a deux ans, nous commémorions la fin de l’esclavage. Cette année, en clôturant ce Festival de jazz, c’est avec reconnaissance que nous nous souvenons de celui qu’on peut probablement nommer « prophète des temps modernes » :


mlk.jpgMartin LUTHER KING, le célèbre Pasteur de Memphis, assassiné il y a quarante ans pour avoir voulu faire disparaître le racisme. Ses paroles et ses gestes ont dérangé ses contemporains, car il a fait tomber les barrières légales de la discrimination raciale, et il interroge encore la conscience de chacune et chacun d’entre nous dans ses attitudes relationnelles avec ceux qui n’ont pas la même couleur de peau que nous, ou qui sont issus d’un autre univers géographique ou culturel.

Les chants Gospel furent, à l’origine, des chants de libération d’un peuple réduit à la servitude, en quête de reconnaissance et de liberté.

Mais laissons la place aux musiciens !


1. How I got over (Mahalia Jackson)


Intro : de tout temps, et à tous les niveaux, interpersonnels ou inter états, la violence et la guerre ont existé. Beaucoup ont cherché des chemins de paix. Martin Luther King a synthétisé sa pensée la veille de sa mort dans ces quelques lignes rédigées à Memphis en 1968.

M. L. King :
« Il en va maintenant de notre survie. Les hommes depuis des lustres, parlent de guerre et de paix. Désormais, ils ne peuvent plus se contenter d’en parler ; ils n’ont plus le choix entre la violence et la non-violence en ce monde ; c’est la non-violence  ou la non-existence… Voilà où nous en sommes aujourd’hui ; nous devons vivre ensemble comme des frères ou mourir ensemble comme des imbéciles ».

Deux années plus tôt, il invitait ses auditeurs à accepter d’être, en quelque sorte, le David de la Vérité contre le Goliath de l’injustice… ou encore la même année : « si nous voulons mettre un homme nouveau à pied d’œuvre, nous devons commencer par détourner le genre humain de la nuit désolée de la violence ».

Matthieu 5, 9-12 : « Heureux ceux qui font œuvre de paix : ils seront appelés fils de Dieu. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice : le Royaume des cieux est à eux. Heureux êtes-vous lorsque l’on vous insulte, que l’on vous persécute et que l’on dit faussement contre vous toute sorte de mal à cause de moi.
Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ; c’est ainsi en effet qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés. »

2. Take my hand, precious Lord (Mahalia Jackson)


Intro : Est-ce folie, inconscience ou utopie de raisonner ainsi ? Ecoutons la réponse à cette question de Martin Luther King ; c’était à Birmingham en 1967.

M. L. King :
« A propos de certaines prises de position,
la lâcheté demande : ‘Est-ce prudent’ ?
L’opportunisme demande : ‘Est-ce habile’ ?
La vérité demande : ‘Est-ce juste ‘ ?

Toute injustice, où qu’elle soit est une menace pour la justice partout ailleurs ».

Qohéleth 9, 10 : « tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le ; car il n’y a ni activité, ni raison, ni science, ni sagesse dans le séjour des morts où tu vas »

3. Swing low, sweet chariot


Intro : Dans les conflits qui opposent oppresseurs et opprimés, le courage, pour que triomphent les libertés, ne doit pas faiblir. Dès 1957, au Ghana, Martin Luther King avait donné le ton, et à nouveau il revient sur le sujet en 1963, à Birmingham :

M. L. King :
« L’oppresseur n’accorde jamais volontairement la liberté à l’opprimé. Celui-ci doit se battre pour l’obtenir. La liberté n’est jamais spontanément accordée à personne. Les classes privilégiées ne renoncent jamais à leurs privilèges sans opposer une forte résistance.

Mes amis, je dois vous dire que nous n’avons jamais remporté une victoire concernant les droits civiques fondamentaux sans exercer une pression déterminée, légale et non-violente. C’est vraiment regrettable, mais c’est un fait historique…. La liberté doit être exigée par les opprimés ».

Galates 5, 1 :« C’est pour que nous soyons vraiment libres que Christ nous a libérés. Tenez donc ferme et ne vous laissez pas remettre sous le joug de l’esclavage. »

4. Lift every voice and sing (Black national anthem)


Intro : Ces combats pour la liberté sont-ils toujours menés de façon exemplaire ? N’y a-t-il jamais, comme on dit, des « bavures » ? Martin Luther KING était conscient que tout n’allait pas toujours sans erreurs tactiques ou faiblesses humaines… Ecoutons-le encore dans un extrait d’un discours de 1962 :

M. L. King :
« Certes, il y a des faiblesses dans nos mouvements et chacun de nous, en tant que participant, porte sa part de responsabilité. Il n’existe aucune théorie capable d’assurer que l’on puisse gagner un combat juste pour la liberté en appuyant simplement sur un bouton.

Ce sont des êtres humains, avec tous leurs défauts et qualités, qui constituent les rouages d’un mouvement de libération sociale. Ces êtres humains doivent faire des erreurs pour en tirer les leçons… et commettre encore des erreurs pour progresser. Ils doivent goûter à la défaite comme à la victoire et découvrir comment continuer à vivre après l’une ou l’autre ».

Luc 17, 10 : « vous aussi, quand vous avez fait tout ce qui vous était ordonné, dites : Nous sommes des serviteurs quelconques. Nous avons fait seulement ce que nous devions faire. »

5. Wade in the water


Intro : Jusqu’où cet engagement va-t-il mener ? Martin Luther KING est-il conscient qu’il peut y laisser sa peau ?

M. L. King :
« Si un jour, vous découvrez mon cadavre étendu quelque part, je ne veux pas qu’en signe de représailles vous commettiez un seul acte de violence. Je vous adjure de continuer à protester avec la même dignité et la même discipline que jusqu’ici.

Si je m’étais constamment soucié de la mort, je n’aurais pas pu agir. Au bout d’un certain temps, quand votre vie est plus ou moins constamment menacée, vous finirez par accepter avec philosophie l’idée de la mort ».

1 Corinthiens 15 : 36-38, 42-43 & 54 :
« Toi, ce que tu sèmes ne prend vie qu’à condition de mourir.
Et ce que tu sèmes n’est pas la plante qui doit naître, mais un grain nu, de blé ou d’autre chose.
Puis Dieu lui donne corps, comme il le veut et à chaque semence de façon particulière.
[…]
Ainsi en est-il de la résurrection des morts.
Semé méprisable, on ressuscite glorieux.
Semé plein de faiblesse, on ressuscite plein de force.
[…]
Alors se réalisera la parole de l’Ecriture: La mort a été engloutie dans la victoire. »

6. Amazing grace


Intro : C’est, nous dit Martin Luther King, le Sermon sur la Montagne, et non pas une doctrine philosophique, qui a donné initialement aux Noirs de Montgomery l’idée de se lancer dans une revendication sociale pleine de dignité :

M. L. King :
« We shall over come…
Nous vaincrons, nous vaincrons.
Nous n’avons pas peur :
Dieu est à nos côtés aujourd’hui… »

7. We shall over come


Intro : Puissions-nous repartir, au terme de cette soirée, avec au cœur le rêve de Martin Luther King d’une société qui, grâce aux efforts de chacun, deviendra de plus en plus juste, et la force de conviction qui fut la sienne pour construire un monde meilleur.
Est-il pensable d’en arriver là sans le secours de la prière, source de toute énergie ? Que celles et ceux qui le peuvent se lèvent pour que monte vers le ciel la prière qui rassemble tous les chrétiens :

« Notre Père… »

Merci à vous qui nous avez rejoints ce soir pour cette fête du Gospel, mais aussi pour ce partage de nos convictions. Merci aux chanteurs et musiciens et à l’année prochaine.
Vous trouverez sur les tables près de la sortie des Bibles qui vous sont offertes, et certainement aussi des CD de ces chants Gospel que les musiciens vous vendront. Bon retour à tous !

Mais une dernière fois, place à la musique…

8. I feel like praising him


juanjazz.jpg





 

23:22 Écrit par rolpoup dans Jazz, Musique, Silence & paroles | Lien permanent | Commentaires (2)

09 juillet 2008

Laboratoire...

 

 

 

… Dans un coin d’une galaxie

 

voie lactée1.jpg

 

Au bout du récit biblique connu comme le récit de la Création des cieux et de la terre, l’homme et la femme arrivent comme au terme du projet divin, où le monde est, de la sorte, présenté comme créé pour l’homme et la femme

Presque au terme du récit, …

Genèse 1, 26-28

Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il soumette les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, les bestiaux, toute la terre, et toutes les petites bêtes qui remuent sur la terre. »
Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa, mâle et femelle il les créa. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : « Soyez féconds et prolifiques, remplissez la terre, et dominez-là. Soumettez les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, et toute bête qui remue sur la terre ! »


Puis, plus loin, …

Genèse 2, 18-24
Le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon pour l’homme d’être seul. Je veux lui faire un soutien qui lui soit assorti. »
Le Seigneur Dieu modela du sol toute bête des champs et tout oiseau du ciel qu’il amena à l’homme pour voir comment il les désignerait. Tout ce que désigna l’homme avait pour nom « être vivant » ;
l’homme désigna par leur nom tout bétail, tout oiseau du ciel et toute bête des champs mais pour lui-même, l’homme ne trouva pas le soutien qui lui soit assorti.
Le Seigneur Dieu fit tomber dans une torpeur l’homme qui s’endormit ; prit l’un de ses côtés et referma les chairs à sa place.
Le Seigneur Dieu transforma le côté qu’il avait pris à l’homme en une femme qu’il lui amena.
L’homme s’écria : « Voici cette fois l’os de mes os et la chair de ma chair, celle-ci on l’appellera femme car c’est de l’homme qu’elle a été prise. »
Aussi l’homme laisse-t-il son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et ils deviennent une seule chair.



*

 

On estime aujourd’hui que l'Univers observable compte quelques centaines de milliards de galaxies de « masse significative », c’est-à-dire contenant quelques centaines de milliards d’étoiles. Ce nombre n’est toutefois pas limitatif, puisque le nombre d’étoiles des galaxies dites « naines », c’est-à-dire ne comptant « que » quelques millions d'étoiles, est difficile à déterminer du fait de leur masse et de leur luminosité « très faibles », et qu’en outre d’autres, trop lointaines, échappent à notre observation. L'Univers dans son ensemble, dont l'extension réelle n'est pas connue, est susceptible de compter un nombre immensément plus grand de galaxies.

Bref, quelques centaines de milliards de galaxies de masse significative sans compter les galaxies moins grandes, et donc plus difficilement observables, et les autres qui nous échappent !

Notre galaxie, la Voie lactée, est une des centaines de milliards de galaxies observables, et de masse dite « significative ». La Voie lactée a une extension de l'ordre de 100 000 années-lumière. C’est-à-dire que l’on perçoit les étoiles lointaines de notre seule galaxie comme elles étaient il y a 100 000 ans. Et notre galaxie est donc une seule de ces galaxies de quelques centaines de milliards d'étoiles.

Le soleil est une des centaines de milliards d’étoiles de cette galaxie, elle-même une parmi quelques centaines de milliards de galaxies semblables observables. Le soleil est donc l’étoile de notre système solaire, autour duquel tourne la terre — sur laquelle nous nous questionnons sur tout cela aujourd’hui.

Lorsqu’on lit de nos jours : « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre », on est renvoyé, en tout cas pour la partie visible « des cieux et la terre », à cette dimension-là des choses.

Voilà qui met les choses en perspective, et qui pourrait être bien vertigineux en regard de nos préoccupations !

Troublant en un sens, car on pourrait se dire, en considérant les choses que je viens d’essayer de résumer très brièvement, que tout ça est le fait du hasard, un mini-bouillon de culture hasardeux dans l’Univers.

Certains, plus téméraires avec le hasard, oseront peut-être dire pourtant qu’au vu du nombre quasi-infini de galaxies semblables à la nôtre contenant un nombre encore plus considérable d’étoiles dont certaines ressemblent à notre soleil avec son système solaire, ce serait bien du diable si une vie, voire une vie intelligente, ne s’était pas développée de la même façon, et même plusieurs fois, ailleurs. Probabilités obligent, paraît-il.

Avec une question toutefois, du genre de la remarque de Stephen Hawking à propos des voyages dans le temps.

Stephen Hawking est ce grand astrophysicien anglais, désormais presque entièrement paralysé, un théoricien de la conception du Big bang aux origines de notre Univers. Stephen Hawking a dit que « la meilleure preuve qu’un voyage dans le temps est impossible est que nous n’avons pas été envahis par des hordes de touristes du futur ».

Peut-être la remarque vaut-elle, malgré les probabilités, pour les civilisations extraterrestres. Pourquoi n’avons-nous pas été envahis de touristes venant d’une des nombreuses planètes pouvant receler la vie ? (
« Paradoxe de Fermi » / Enrico Fermi - 1901-1954 : « Si les extraterrestres existaient, ils seraient déjà ici. ») La question reste ouverte…

Toujours est-il, quoiqu’il en soit, que, et nous sommes bien placés pour le savoir, il y a une civilisation terrestre, nous en sommes.

Puisqu’il y a bien une civilisation terrestre, et puisqu’on y parle de Dieu, à l’origine de tout ce qui existe et dévoilé comme tel aux êtres humains qui ont développé, outre une civilisation, pas mal de réflexions sur ces questions, posons-nous, en toute humilité, la question de ce que nous faisons ici.


*


Une tradition du judaïsme — lequel s’est tout au long de son histoire penché sur les textes que nous avons lus — une tradition du judaïsme envisage qu’avant d’en venir à la Création que nous connaissons, avec des êtres humains qui travaillent, se reposent, s’agitent, se marient, procréent etc., Dieu a fait une série d’essais finalement non-concluants.

C’est parmi ces essais que certains modernes placent par exemple l’ère des dinosaures…

Mais laissons les dinosaures, pour simplement poser la question des essais en question, en rapport non plus avec un lointain passé de notre planète, mais en rapport avec la dimension apparemment infiniment minuscule de notre planète dans tout l’univers.

Dans l’hypothèse « essai », façon laboratoire de la Création, l’infiniment minuscule pourrait ne l’être pas tant que ça ! Une des avant-gardes d’un projet à l’échelle du projet de Dieu, plus vaste que l’Univers.

Selon la Bible, Dieu a toujours procédé comme ça. De l’infime… Un individu, un couple : Abraham et Sarah, d’où part une Alliance qui va emporter l’Univers, à commencer par être en bénédiction à une échelle plus que surprenante, bénédiction pour toutes les nations… ce qui se traduira plus tard dans l’envoi des disciples du ressuscité : allez, faites de toutes les nations des disciples… eux-mêmes une avant-garde. Le Ressuscité, Jésus, a d’abord été un obscur crucifié dans une obscure province éloignée aux marges de l’Empire romain.

Et si l’expérience humaine était de cet ordre, dans le projet de Dieu. Où ce qui se vit de minuscule peut prendre une signification surprenante ! Dévoilement de Dieu comme celui qui est autre, et comme celui qui est notre vis-à-vis.

Revenons à nos textes de la Genèse : «
Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance » — « Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa, mâle et femelle il les créa ». Tel est donc l’humain selon l’image de Dieu, l’humain mâle et femelle, homme et femme.

Puis, deuxième texte : « Le Seigneur Dieu fit tomber dans une torpeur l’homme qui s’endormit ; prit l’un de ses côtés et referma les chairs à sa place. Le Seigneur Dieu transforma le côté qu’il avait pris à l’homme en une femme qu’il lui amena. L’homme s’écria : "Voici cette fois l’os de mes os et la chair de ma chair, celle-ci on l’appellera femme car c’est de l’homme qu’elle a été prise." »

En premier un projet de Création de l’humain selon l’image de Dieu, qui est appelé à se réaliser dans la dualité homme-femme. «
Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa » — à savoir « mâle et femelle ».

Nous sommes homme et femme. Mais la partie féminine des hommes et la partie masculine des femmes est cachée en quelque sorte. Et pourtant c’est là que se réalise l’image et Dieu.

C’est-à-dire que c’est là que se dit quelque chose de Dieu comme celui qui est Autre, radicalement différent de ce que nous pouvons en concevoir, sous peine d’être à notre image, d’être une projection de nous-mêmes — autant dire, de ne pas exister ailleurs que dans notre tête !

Or l’image de Dieu en nous n’est pas cela. L’image de Dieu en nous est en notre dualité homme-femme. Elle est en ce que quelque chose en nous nous échappe totalement. Ce « quelque chose » nous est aussi étranger qu’un homme pour une femme ou une femme pour un homme.

Et pourtant c’est en nous, c’est même en nous le signe de Dieu qui nous échappe totalement : « à son image il le créa » — et donc homme et femme.

Voilà ce qu’est l’homme pour la femme, la femme pour l’homme : l’autre côté — plutôt que l’autre côte !
qui est le signe du Dieu infini.

Radicalement semblable : l’os de mes os, la chair de ma chair. Et radicalement inaccessible. Quoi de plus inaccessible qu’une femme pour un homme, qu’un homme pour une femme ? D’où le mariage ! Car si c’était simple, y en aurait-il besoin ? Mais on sait bien qu’il n’y a rien de plus étranger qu’un homme et qu’une femme et réciproquement, pourtant si proches…

Tout comme l’infini de l’Univers. Plus encore que l’infini de l’Univers : comme l’infini de Dieu qui est à l’origine de l’infini de l’Univers.

Alors le laboratoire de notre Terre, dans un coin infime de l’Univers, est de l’ordre du dévoilement du projet qui est à l’origine de l’Univers.

« Celle-ci est os de mes os et chair de ma chair. » Par elle, par lui, à travers un nouveau départ « quittant père et mère », se dévoile quelque chose de l’image de Dieu, comme un reflet du projet qui est derrière l’Univers infini et qui peut lui donner sens, infini… et au cœur de nos vies.


RP

21:11 Écrit par rolpoup dans Silence & paroles | Lien permanent | Commentaires (0)

King Crimson - Islands





Et puis...
King Crimson - Providence, etc.

21:10 Écrit par rolpoup dans Musique, Silence & paroles | Lien permanent | Commentaires (0)